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Résultats Étude de cas – Faire triompher l’esprit de Noël !

Publié le 18/12/2025 dans Résultats

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Réponses à l’étude de cas “Faire triompher l’esprit de Noël (et décorer le sapin) !”
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SCÉNARIO  Scenario 1 Etude de cas Microcoaching - Institut François Bocquet

Trancher fermement : “On fait comme l’an dernier, c’était très bien l’an dernier non ? Comme ça, on ne prend pas de risques, et je sais que le directeur avait bien aimé”.

 • C’est une solution rapide, efficace… et un brin démotivante.
• Cette solution fait gagner du temps, mais ruine l’esprit participatif.
• Vous éteignez la guirlande de la motivation avant même qu’elle ne clignote !
• Le management autoritaire, même festif, ne fait jamais rêver sous le sapin. L’enjeu ici est quand même assez limité, les risques aussi, alors autorisez-vous à lâcher les rênes (rennes ?), bon sang !

SCÉNARIO  Scenario 1 Etude de cas Microcoaching - Institut François Bocquet

Proposer un concours : “Chacun décore sa propre branche, et le plus créatif gagne une boîte de chocolats.”

• Voilà ! ça c’est la magie de Noël ! L’idée ici est de transformer un potentiel mini conflit en mini-jeu… Vous valorisez ainsi la diversité des goûts, stimulez la coopération ludique et restaurez la bonne humeur. Tout le monde pourra s’amuser et s’exprimer.
• Ce sapin ne sera peut-être pas le plus beau sapin “corporate” du monde, mais il sera symboliquement parfait : à l’image de l’équipe, pleine de personnalité(s) !

 

 

 

 

 

SCÉNARIO  Scenario 1 Etude de cas Microcoaching - Institut François Bocquet

Laisser le groupe trouver un compromis sans intervenir, en gardant un œil bienveillant et une boîte de chocolats prête pour le moment où la tension retombera.

• Vous choisissez la posture paisible, presque zen : vous laissez l’équipe s’autoréguler, en pariant sur sa maturité collective. C’est une bonne idée si le climat est sain et l’humour présent, moins si des susceptibilités sommeillent. Vous le savez, on peut être surpris, parfois, par l’aspect dérisoire de l’étincelle à la base de certains feux de forêt !
• Attention donc, si vous optez pour le laisser-faire… n’hésitez pas à cadrer un peu les débats, avec humour, légèreté et bienveillance. Laisser faire, oui — mais pas laisser dériver. Vous pourrez ainsi faire triompher l’esprit de Noël !! 

Nos conseils :

Dans la situation de Florie, il est donc important de :

> Faire rimer humour et inclusion : quand les goûts divergent, le rire et la créativité sont souvent les meilleurs médiateurs.

> Célébrer le collectif plutôt que le résultat.
L’objectif n’est pas d’obtenir un sapin digne de Pinterest, mais de partager un moment festif et collectif… non ?

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SCÉNARIO  Scenario 1 Etude de cas Microcoaching - Institut François Bocquet

Trancher fermement : “On fait comme l’an dernier, c’était très bien l’an dernier non ? Comme ça, on ne prend pas de risques, et je sais que le directeur avait bien aimé”.

• C’est une solution rapide, efficace… et un brin démotivante.
• Cette solution fait gagner du temps, mais ruine l’esprit participatif.
• Vous éteignez la guirlande de la motivation avant même qu’elle ne clignote !
• Le management autoritaire, même festif, ne fait jamais rêver sous le sapin. L’enjeu ici est quand même assez limité, les risques aussi, alors autorisez-vous à lâcher les rênes (rennes ?), bon sang !

SCÉNARIO  Scenario 1 Etude de cas Microcoaching - Institut François Bocquet

Proposer un concours : “Chacun décore sa propre branche, et le plus créatif gagne une boîte de chocolats.”

• Voilà ! ça c’est la magie de Noël ! L’idée ici est de transformer un potentiel mini conflit en mini-jeu… Vous valorisez ainsi la diversité des goûts, stimulez la coopération ludique et restaurez la bonne humeur. Tout le monde pourra s’amuser et s’exprimer.
• Ce sapin ne sera peut-être pas le plus beau sapin “corporate” du monde, mais il sera symboliquement parfait : à l’image de l’équipe, pleine de personnalité(s) !

SCÉNARIO  Scenario 1 Etude de cas Microcoaching - Institut François Bocquet

Laisser le groupe trouver un compromis sans intervenir, en gardant un œil bienveillant et une boîte de chocolats prête pour le moment où la tension retombera.

• Vous choisissez la posture paisible, presque zen : vous laissez l’équipe s’autoréguler, en pariant sur sa maturité collective. C’est une bonne idée si le climat est sain et l’humour présent, moins si des susceptibilités sommeillent. Vous le savez, on peut être surpris, parfois, par l’aspect dérisoire de l’étincelle à la base de certains feux de forêt !
• Attention donc, si vous optez pour le laisser-faire… n’hésitez pas à cadrer un peu les débats, avec humour, légèreté et bienveillance. Laisser faire, oui — mais pas laisser dériver. Vous pourrez ainsi faire triompher l’esprit de Noël !!

Nos conseils :

Dans la situation de Florie, il est donc important de :

> Faire rimer humour et inclusion : quand les goûts divergent, le rire et la créativité sont souvent les meilleurs médiateurs.

> Célébrer le collectif plutôt que le résultat.
L’objectif n’est pas d’obtenir un sapin digne de Pinterest, mais de partager un moment festif et collectif… non ?