Résultats Micro-coaching « Comment contredire son supérieur hiérarchique avec assertivité »
➜ 1/ Je trouve que c’est un bon point de départ pour réfléchir.
C’est une bonne façon de dire que l’on n’est pas d’accord : on valorise l’idée de départ, tout en disant qu’elle a besoin d’être peaufinée, et donc qu’on ne l’accepte pas en l’état.
➜ 2/ Je comprends le pourquoi de ta position. J’en ai une autre : puis-je l’exprimer ?
Excellente façon d’introduire sa propre opinion : on fait preuve d’empathie envers l’autre et on lui demande la “permission” de dérouler notre argumentaire.
➜ 3/ Je ne suis pas d’accord avec ce que tu dis et je vais te dire pourquoi.
Cette façon de s’exprimer est déjà beaucoup plus frontale et peut paraître plus agressive. Cependant, dans certains cas, cette formulation peut aussi avoir son utilité.
➜ 4/ Donc si j’ai bien compris ce que tu dis, la direction nous prend juste pour des pions interchangeables c’est ça ?
Evidemment, cette phrase ressemble à une reformulation, puisque ça commence par “Si j’ai bien compris”, mais il y a de fortes chances pour que la suite soit un jugement, une interprétation ou une exagération des propos qui ont été tenus. Cela paraît donc bien agressif.
➜ 5/ Voilà mon avis, je sais qu’il va à l’encontre de ce que tu viens de dire, mais je tenais quand même à le formuler, même si évidemment la décision finale t’appartient.
Cette phrase respecte bien le cinquième conseil, qui est de bien montrer que l’on ne remet pas en cause l’autorité du manager.
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