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Réponses à l’étude de cas : Gérer un collaborateur (légèrement) “parano” > VOIR L’ÉNONCÉ DE L’ÉTUDE DE CAS
“Pierre, ce genre de propos n’a pas lieu d’être. Tu ferais mieux de te concentrer sur ton travail.”
L’idée ici est sûrement de stopper immédiatement les propos de Pierre pour éviter les dérives, surtout en réunion. Ce recadrage sec peut paraître efficace sur l’instant, mais il renforce souvent la méfiance d’une personne paranoïaque : elle se dit qu’on veut la faire taire. Cela peut avoir tendance à accentuer sa méfiance et son isolement.
“Non Pierre, personne n’est contre toi. Si ça peut te rassurer, je peux te montrer mes derniers mails avec la direction concernant ce projet.”
Ici, votre objectif est sûrement de désamorcer la méfiance par une transparence totale, quitte à répéter indéfiniment des preuves. Le problème est que ce type de réassurance ne fonctionne pas : au contraire, cela a tendance à entretenir la mécanique paranoïaque : plus on “prouve”, plus la personne cherche la faille. Vous risquez de vous épuiser à vouloir montrer votre bonne foi, sans pour autant créer de la confiance.
“Tu as le droit d’avoir ce sentiment. Mais pour le moment, j’aimerais surtout discuter avec toi des éléments à revoir et des prochaines deadlines sur ce projet.”
Cette réponse semble la plus pertinente. En effet, l’idée ici est de valider l’émotion sans donner raison, de ne pas l’amplifier, et de canaliser l’attention de Pierre sur des faits observables. Il faut donc garder une posture d’écoute, tout en recentrant la discussion sur des éléments concrets, factuels. Cela n’empêchera pas Pierre de se faire des idées, mais cela n’apporte pas non plus d’eau à son moulin. Eventuellement, en individuel (et non pas en réunion collective) vous pouvez revenir sur ce sentiment et lui demander les raisons d’un tel ressenti, mais sachez que ce comportement, s’il est louable, ne sera pas forcément utile.
Nos conseils :
Dans la situation de Céline, il est donc important :
> d’éviter de nier ou ridiculiser son ressenti, (ce qui braquerait Pierre).
> de contenir le discours sans s’y engouffrer,
> et donc de ne pas chercher à prouver que vous avez raison et qu’il a tort, de ramener la discussion à des points vérifiables, opérationnels.
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“Pierre, ce genre de propos n’a pas lieu d’être. Tu ferais mieux de te concentrer sur ton travail.”
L’idée ici est sûrement de stopper immédiatement les propos de Pierre pour éviter les dérives, surtout en réunion. Ce recadrage sec peut paraître efficace sur l’instant, mais il renforce souvent la méfiance d’une personne paranoïaque : elle se dit qu’on veut la faire taire. Cela peut avoir tendance à accentuer sa méfiance et son isolement.
“Non Pierre, personne n’est contre toi. Si ça peut te rassurer, je peux te montrer mes derniers mails avec la direction concernant ce projet.”
Ici, votre objectif est sûrement de désamorcer la méfiance par une transparence totale, quitte à répéter indéfiniment des preuves. Le problème est que ce type de réassurance ne fonctionne pas : au contraire, cela a tendance à entretenir la mécanique paranoïaque : plus on “prouve”, plus la personne cherche la faille. Vous risquez de vous épuiser à vouloir montrer votre bonne foi, sans pour autant créer de la confiance.
“Tu as le droit d’avoir ce sentiment. Mais pour le moment, j’aimerais surtout discuter avec toi des éléments à revoir et des prochaines deadlines sur ce projet.”
Cette réponse semble la plus pertinente. En effet, l’idée ici est de valider l’émotion sans donner raison, de ne pas l’amplifier, et de canaliser l’attention de Pierre sur des faits observables. Il faut donc garder une posture d’écoute, tout en recentrant la discussion sur des éléments concrets, factuels. Cela n’empêchera pas Pierre de se faire des idées, mais cela n’apporte pas non plus d’eau à son moulin. Eventuellement, en individuel (et non pas en réunion collective) vous pouvez revenir sur ce sentiment et lui demander les raisons d’un tel ressenti, mais sachez que ce comportement, s’il est louable, ne sera pas forcément utile.
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Dans la situation de Céline, il est donc important :
> d’éviter de nier ou ridiculiser son ressenti, (ce qui braquerait Pierre).
> de contenir le discours sans s’y engouffrer,
> et donc de ne pas chercher à prouver que vous avez raison et qu’il a tort, de ramener la discussion à des points vérifiables, opérationnels.
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