S’il est normal de penser à son travail de manière ponctuelle quand on est en vacances par exemple, y penser tout le temps n’est pas très bon signe. Cela signifie que l’on n’arrive plus à “déconnecter”, que notre charge mentale s’alourdit et que l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle se fragilise. Cela peut arriver de temps en temps, mais quand cela devient trop fréquent il est nécessaire d’agir. Comment ? Voici quelques conseils à suivre…
Cela fait quelques mois que vous travaillez avec Gaëlle, votre nouvelle directrice. Cette dernière se montre très directive, voire autoritaire par moment, et a besoin de contrôler énormément votre travail, ce qui vous agace, car le directeur précédent vous laissait bien plus d’autonomie. De plus, ce contrôle permanent réduit votre efficacité et votre réactivité, notamment face aux autres salariés, car vous devez attendre qu’elle valide les décisions que vous preniez seule auparavant, ce qui induit un temps de latence important car elle est débordée. Vous décidez de lui en parler…
Cela fait environ 3 mois que vous avez pris la tête d’une équipe de techniciens expérimentés. La direction vous demande de lancer la campagne des entretiens individuels. Vous demandez donc à Boris, le vieux briscard de votre équipe (qui ne rate jamais une occasion de vous rappeler votre âge) de vous mettre d’accord sur une date d’entretien. Boris vous répond “Quoi ? C’est toi qui va mener cet entretien ? Et tu penses que tu vas arriver à m’évaluer ? C’est une blague ! J’ai 30 ans de métier moi ! Je veux passer l’entretien avec Daniel (le directeur) !”