Programme
Reconnaître la neurodiversité
- Le fonctionnement neurologique des atypiques : les DYS (du dyslexique au TDAH), les troubles du spectre de l’autisme (syndrome d’Asperger).
- Les aptitudes neuro-atypiques : neuro-déficients, hyper-aptitudes, hauts potentiels intellectuel ou émotionnel (HPI, HPE), multi-potentiels.
- Les dysfonctionnements : troubles de l’humeur, personnalités pathologiques (DSM).
Cas pratique :
Savoir dire stop quand la ligne rouge est franchie.
Canaliser les neuro-aptitudes particulières
- Identifier les performances cognitives utiles sur lesquelles s’appuyer : soft skills exacerbés, hyper-empathie, pensée en arborescence, décloisonnée ou « out of the box », créativité, énergie, persévérance.
- Canaliser la créativité, l’énergie et le talent d’un collaborateur neuro-atypique : les conditions de la concentration et de l’acceptation par les équipes des réactions inattendues et des propositions disruptives.
- Comment transformer le vilain petit canard en boîte à idées ou en locomotive : savoir utiliser les neuro-talents, construire des binômes et des équipes différemment.
Entraînement pour adapter ses postures managériales :
Reconnaître et valoriser la différence, expliquer l’objectif plutôt que la man½uvre, donner une liberté plus grande dans un cadre solide, gérer l’hypersensibilité.
Accompagner un collaborateur atypique et communiquer différemment
- L’univers des neuro-atypiques : le rapport particulier au temps, à l’organisation, aux autres, à l’attachement, à l’engagement, à la communication.
- Personnaliser sa communication : le cadre, les postures et les mots.
- Aider un collaborateur divergent à se faire comprendre, à se faire apprécier.
- Accueillir la différence avec discernement : encourager sans tout permettre.
Exercices :
Faire face aux états émotionnels intenses ; protéger un collaborateurs atypique contre la mise à l’écart plus ou moins déguisée.
Orchestrer la diversité dans une équipe
- Gérer les autres formes de la diversité : l’intégration multiculturelle et multigénérationnelle, entre les très jeunes (génération « Z ») et les anciens (« babyboomers »).
- Traiter les résistances, les stéréotypes, les préjugés et les malentendus associés à la diversité : les clefs de l’inclusion positive.
- Développer le sentiment d’appartenance d’un collaborateur « différent » et le fidéliser durablement.
Expérience immersive en jeu de rôle :
Comment apprivoiser des collaborateurs plus classiques et faire accepter (parfois apprécier) sa différence.